Soigner n’est pas tuer. Si même l’intelligence artificielle le dit ! Un texte de ChatGPT.
1) Soigner n’est pas tuer.
Cette affirmation, simple en apparence, porte en elle une profonde vérité humaine et éthique. Le rôle du soignant est de soulager, d’accompagner, de préserver la dignité du malade jusqu’au bout, non de mettre fin à sa vie. Le cœur de la médecine repose sur le respect inconditionnel de la vie humaine, même quand elle est fragilisée, diminuée ou en fin de course.
Certains avancent que l’euthanasie serait un « acte de compassion ». Mais la compassion ne consiste-t-elle pas justement à rester aux côtés de celui qui souffre, à porter avec lui sa douleur, plutôt que de supprimer celui qui souffre ? La vraie dignité, ce n’est pas mourir dans un instant choisi, c’est être aimé, entouré, respecté jusqu’au dernier souffle.
2) Légaliser l’euthanasie introduit une rupture dans la confiance entre patients et soignants.
Le malade, surtout vulnérable ou dépendant, peut finir par se croire un poids, une charge. Il risque de se sentir obligé de « choisir » la mort pour ne pas déranger. Ce glissement est réel et dangereux, comme l’ont montré les expériences de certains pays.
3) La médecine palliative est une réponse humaine et éthique à la souffrance.
Elle ne nie pas la mort, mais elle l’accompagne avec humanité. Elle montre que, même dans les pires douleurs, il est possible de soulager, de consoler, de redonner sens. Choisir les soins palliatifs, c’est dire au malade : « Ta vie a du prix, jusqu’au bout. »
L’euthanasie, au contraire, introduit l’idée que certaines vies ne valent plus la peine d’être vécues. C’est une pente glissante, où la mort devient une solution, non plus une réalité à accompagner. Cela change profondément le regard que la société porte sur la fragilité, la dépendance, la vieillesse.
4) Soigner n’est pas tuer.
C’est espérer, accompagner, consoler. C’est croire que la vie, même blessée, garde sa valeur. Dire non à l’euthanasie, ce n’est pas refuser la souffrance, c’est refuser d’y répondre par l’élimination de la personne. C’est choisir une société qui soigne, qui protège, qui aime les plus fragiles.
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« Les médecins eux aussi prieront le Seigneur pour qu’il leur donne le moyen de te soulager et la guérison qui te sauvera la vie. » La Bible, Livre de Ben Sira le Sage, 38,14
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