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Harry Potter est-il un simple divertissement, vraiment innocent, ou une apologie de l’ésotérisme, voire même du satanisme ? Quelle vision de la mort, de l’enfer et du diable véhicule la saga ? Contient-elle des références satanistes ? Eléments de réponses à partir des quatre premiers épisodes de la saga, d’après l’analyse d’un prêtre exorciste italien, Don Pasqualino Fusco, librement adaptée pour Lavieapreslamort.com, et approuvé depuis par d’autres prêtres spécialistes d’ésotérisme, notamment des exorcistes.

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Qu’en pense Dieu ?

1. Harry Potter, un succès planétaire

Il est difficile d’ignorer ce nom omniprésent, qui représente un impressionnant succès en librairie, et ce au niveau planétaire, avec 7 épisodes vendus à plus de 500 millions exemplaires, diffusés dans 200 pays et traduits en 80 langues… L’auteur, anglaise, Joanne Rowlin, est née en 1965. Après l’étude du français, elle enseigne au Portugal où elle se marie. Divorcée peu après, elle éduque seule sa fille qu’elle a appelée Jessica à cause de son admiration pour Jessica Mitford, militante communiste. Après une période de misère matérielle, elle a une quasi-illumination dans le train Londres-Manchester et commence ainsi son œuvre pour laquelle elle a reçu plus de trente prix littéraire et a été décorée par la reine Elisabeth pour « services rendus à la littérature ».

Sa saga compte aujourd’hui 7 tomes :

  1. Harry Potter à l’école des sorciers (1997)

  2. Harry Potter et la Chambre des secrets (1998)

  3. Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban (1999)

  4. Harry Potter et la Coupe de feu (2000)

  5. Harry Potter et l’Ordre du Phénix (2003)

  6. Harry Potter et le Prince de sang-mêlé (2005)

  7. Harry Potter et les Reliques de la Mort (2007)

Ce dernier volume s’est vendu à 20 millions d’exemplaires dans le monde, dont 8,3 millions pendant les 24 premières heures aux Etats-Unis. Dans le monde dans la semaine qui a suivi sa sortie, 72 millions se sont écoulés en version originale, tandis qu’en France, ce tome s’est écoulé à 1,1 million dès les deux premiers jours qui ont suivi sa sortie (1) ! Un immense succès littéraire accéléré par Hollywood, ce dernier épisode adapté au cinéma rapportant à lui seul plus de 330 millions de dollars de recettes en un seul week-end !

Et toi, as-tu lu tous ces épisodes ? Viens nous donner ton avis sur le chat’ !

2. Qui est Harry Potter ?

Harry Potter est un garçon de 11 ans (il vieillit d’un an à chaque volume et aura 17 ans lors du septième opus). Orphelin de père et de mère, il vit chez son oncle et sa tante. Il apprend un jour qu’il est le fils d’un magicien et d’une sorcière assassinés par le terrible Voldemort, « le seigneur des ténèbres », dont le nom, dans la saga, est prononcé avec peine, qui plus est substitué par « Tu-Sais-Qui » (allusion à l’usage hébraïque de ne pas prononcer le nom de Dieu ? Mais il semble qu’il s’agisse plutôt du diable). Cependant, le petit Harry a échappé à la folie meurtrière de Voldemort. Les baguettes magiques de Harry et de Voldemort sont jumelles : elle contiennent toutes les deux une plume du même Phénix. Après avoir pris conscience de sa nature de magicien, Harry se voit invité à se rendre au collège de Poudlard, fameuse école de sorcellerie où il rencontre deux autres élèves, Ron Weasley et Hermione Granger, qui désormais seront ses compagnons d’école et d’aventure.

3. Des livres épais

Le premier volume comptait 296 pages, le second 310, le troisième 368, le quatrième 627, le cinquième 1031, le sixième 720, le septième 816 : comment se fait-il que nos bambins, qui lisent avec toujours plus de difficulté en cette civilisation de l’image et du numérique, réussissent à dévorer autant de pages ? Sont-ils fascinés par ce subtil mélange de naturel et de surnaturel, de réel et d’irréel, de concret et de magique, d’antique et de moderne ? Que dire de l’esprit de ces livres ? Fait-il une description charmeuse de l’Empire des ténèbres, à rebours de l’espérance chrétienne ? Y trouve-t-on des éléments de satanisme ?

4. Un monde sans Dieu

Au collège de Poudlard, toute la vie est imprégnée de magie. Les professeurs sont tous magiciens ou sorcières comme par exemple la professeur Mc Granitt, habile à se métamorphoser en chat. Les livres de textes sont tous magiques : Manuel d’enchantements, Histoire de la magie, Guide pratique de transfiguration pour débutants, Les forces obscures : guide de l’auto-protection ? (3), etc… Évidemment, les seules leçons suivies par les élèves sont pour apprendre à faire des boissons magiques, à jeter des sortilèges, à transformer des choses, à se défendre contre la magie noire et autres pratiques de magie et de sorcellerie. Aucun autre enseignement : au-delà des besoins du genre, il n’y a pas aucune place pour la moindre notion de transcendance, ni de Dieu : nous sommes donc en plein « fondamentalisme » magique.

Même les jeux sont magiques : le jeu officiel de Poudlard est le « quidditch » : une espèce de football aérien sur manche à balai (outil traditionnel du folklore propre à la sorcellerie). Les seules références religieuses présentes dans les quatre volumes sont la simple évocation des fêtes de Noël et de Pâques réduites à un simple repas, un échange de cadeaux et une période de vacances.  Il apparaît fugacement le fantôme d’un « moine petit et gras ». Par contre, Halloween est vraiment la grande fête de l’école ! Dans le quatrième volume, à l’occasion de Noël, l’auteur nous montre un casque vide qui chante une partie des paroles du chant catholique « Venez fidèles » (5), les lacunes étant comblées par des rimes inventées « toutes décidément mal éduquées » (6). Fête et chant sacré sont ainsi tranquillement profanés. Dans ce quatrième volume, une église est mentionnée pour la première fois, mais, nous le verrons plus loin, pour une scène qui a les caractères  d’un sacrifice tout droit venu du satanisme !

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5. Une initiation au mal

Harry Potter ne va plus au collège pour apprendre d’innocents jeux de magie blanche, entendue comme l’habileté des prestidigitateurs, mais pour apprendre les divers sortilèges, métamorphoses, etc. Autant de pratiques qui le rendront supérieur aux autres, les « moldus » (les non-sorciers, méprisés parce que dépourvus de pouvoirs magiques).

Apparemment cela semblerait être dans la continuation inoffensive des antiques fables (se rendre invisible, faire apparaitre de l’or, rajeunir ou vieillir, etc..) et ceci contribue à la fascination de cette saga. Mais il n’en est rien. En effet, lisant une fable traditionnelle, on se rend tout de suite compte qu’on est dans un monde purement imaginaire, un monde « fantastique » dans lequel se trouvent des fées, des sorcières, des gnomes, etc., un monde de rêve sans incidences sur la vie réelle du lecteur.

Par contre, avec Harry Potter, nous assistons à une espèce d’incarnation du magique dans le monde normal. Harry Potter et ses amis sont des enfants de notre siècle, typiquement « british » qui, en dehors de l’année scolaire, rejoignent leurs familles qui habitent les ville « normales » au milieu des « Babbani ». Le message implicite est clair : les pouvoirs magiques (7), le fait d’être magicien ou sorcière est un privilège, un don spécial, quelque chose de positif, un peu comme le baptême et la grâce sont un privilège du chrétien par rapport au non-chrétien.

6. Magie et religion

Arrivé à ce point, il est nécessaire donner le regard chrétien sur la magie. Rappelons d’abord ce qu’un péché : se couper de Dieu et de son amour. Or la magie appartient aux péchés contre le premier commandement, à coté de l’idolâtrie (par laquelle une créature est honorée comme Dieu). C’est un péché de superstition au sens strict, en tant qu’il attribue à une créature « des pouvoirs qui, selon l’ordre de la nature et de la grâce celle-ci (cette créature) n’a pas », selon le théologien Héribert Jone.

Et cette « superstition au sens strict est liée à la divination et à la sorcellerie » (9). Le même théologien nous donne également la précision suivante : « Pour ce qui est du degré de faute, il faut noter que la divination et la sorcellerie sont en soi des péchés très graves, contenant une explicite ou implicite invocation du démon » (10). Expliquons brièvement les choses : la divination et la sorcellerie sont deux sortes de superstition, la première vise à connaître, la seconde à agir. « La divination est l’invocation expressive ou tacite du démon pour obtenir la connaissance de choses cachées, occultes ou secrètes » (11).

Le théologien Prümmer nous explique la raison de la malice de la divination : « Comme la connaissance de ces choses ne s’acquière ni par les forces naturelles de l’Homme, ni par Dieu, ni par les bons anges (…) on doit en conclure que toute divination se fait par œuvre directe ou indirecte du démon » (12).

Quant à la sorcellerie, c’est un recours superstitieux, en vue d’un effet, à des moyens en soi inadéquats (par exemple porter une amulette contre telle maladie). On réduit à la sorcellerie à la magie qui est, mis à part les simples jeux de prestige, « ars operandi mira ope daemoni » (13), c’est à dire l’art de réaliser des choses merveilleuses grâce au concours (implicite ou explicite) du démon. Malheureusement le monde de Harry Potter et de ses amis dans le château de Poudlard, et aussi un peu quand ils sont en vacances, est totalement imbibé de ces graves péchés de superstition, qui coupent notre relation avec Dieu.

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7. Magie partout

Prenons un exemple : par la divination, dans le troisième volume, nous voyons la professeur Cooman expliquer à Harry, Ron et Hermione le programme annuel de divination : lecture des feuilles de thé, lecture de la main (chiromancie) et enfin, de la boule de cristal (cristalomancie) (14). Il apprend aussi l’importance de la pierre magique pour se sauver (pratique très actuelle du Nouvel Age), et tout ceci se présente comme des pouvoirs qui peuvent être canalisés « pour faire le bien » (or l’Eglise catholique affirme depuis toujours que jamais on ne peut utiliser le mal pour faire le bien).

Pour ce qui concerne la magie, non seulement les élèves l’étudient, mais la pratiquent très souvent. Par exemple Hermione utilise l’enchantement de lévitation pour faire voler une plume (15) et le sortilège « Pietrificus totalus » pour paralyser les jeunes de son âge (16).  D’autre part, dans le second volume, on dit que « à l’insu des professeurs, se développait parmi les étudiants (de Poudlard) un commerce florissant de talismans, amulettes et autres protections » (17).

Même les maléfices les plus « noirs » sont enseignés à Poudlard (et utilisés surtout dans le quatrième volume) : l »imperius », le « Cruciatus » et le terrible « Ava Kedavra… l’Anathème qui tue », contre lequel « il n’est pas de contre-malédiction » (18).

Il est vrai que les étudiants ont l’ordre de ne pas utiliser ces maléfices afin de nuire, mais… qui sait s’ils obéiront ? Ils apprennent les « contre-malédictions », c’est-à-dire à lutter contre Satan avec ses mêmes armes. Comme nous sommes loin de l’esprit chrétien ! Saint Thomas d’Aquin nous avertit : « L’Homme n’a pas reçu la domination sur les démons pour s’en servir comme il veut, mais doit avoir avec ceux-ci une guerre déclarée. C’est pour cela qu’en aucun cas il est licite à ‘Homme de recourir à l’aide des démons, que ce soit par accords tacites ou exprimés » (19). Dans les quatre premiers livres, nous découvrons une progression, non seulement du nombre de pages, mais aussi du degré de magie et d’horreur : les aventures de Harry Potter au milieu de monstres divers, vampires, fantômes, mange-morts, etc., apparaissent toujours plus terrifiantes et sanguinolentes. Ceci est donc la valeur éducative d’Harry Potter ?

8. Le bien et le mal

D’autre part, dans les vieilles fables qui ont une réelle valeur éducative, il a toujours un clair contraste entre les bons et les méchants, le bien y toujours récompensé et le mal châtié. C’est ce qu’il pourrait sembler dans la saga de F. K. Rowling, en laquelle on voit une lutte entre le camp des « bons » (Harry, mis, le directeur de l’école, le Ministère de la magie) et celui des mauvais Voldemort, les mangeurs, Drago Malfoy, etc..). Mais en réalité les paramètres moraux sont renversés car les bons recourent aux mêmes armes que les méchants (magie, sorcellerie). De plus, « le mal n’est jamais vraiment vaincu et le bien prévaut – et seulement apparemment – uniquement grâce aux moyens laids et méchants ». Il faut noter également que le quatrième tome nous montre le « bon » Harry alors qu’il broie des scarabées, imaginant que chacun ait la face du professeur Piton, qu’il hait. Les bons comme les méchants n’hésitent pas à recourir au mensonge, ou encore à la désobéissance. Interrogé par un journaliste sur la morale de Harry Potter, Don Amorth, exorciste de Rome, répondait : « Les règles peuvent être facilement enfreintes si elles ne soutiennent pas ses propres intérêts ; ici mentir est justifié, efficace pour atteindre son propre but » (21).

Et toi, que penses-tu de cette approche ? Viens nous donner ton avis sur le chat’ !

9. De l’ésotérisme au satanisme

Dans le quatrième volume, les sortilèges se multiplient, deviennent facilement maléfices, jusqu’à la tragédie sanglante du trente-deuxième chapitre : un sorcier noir, Codaliscia (23), tue un compagnon de Harry dans un cimetière, devant ses yeux. Puis a lieu un rituel satanique, durant lequel le terrifiant Voldemort unit son esprit à un corps humain, se donnant ainsi une nouvelle vie. Dans ce rituel satanique, absolument horrible et diabolique, une sorte d’enfant monstrueux est jeté vif dans un chaudron bouillant avec les os d’une tombe profanée et un peu de sang de Harry (24), le tout avec des formules qui semblent rappeler de façon blasphématoire les grands mystères de la foi catholique. Ainsi le pape émérite Benoît XVI, alors cardinal, écrivait : « Vous avez raison d’éclairer les gens sur Harry Potter, parce que ce sont des séductions subtiles qui agissent sans qu’on s’en aperçoive, et pour cela falsifient la vie chrétienne dans l’âme (des enfants) avant qu’elle ait pu croître correctement » (25).

10. Conclusion

Comme le dit le Père Marie-Joseph (Serviteurs de Jésus et de Marie) :

Tout récit a une valeur pédagogique, pour le bien ou pour le mal, et tout récit est un moyen de transmettre des valeurs. Ce qui est mauvais en Harry Potter n’est pas qu’il contienne des sorcières, mais qu’il les présente comme des modèles. Ainsi la saga présente au jeune lecteur l’usage du monde occulte comme un modèle attrayant. Ceci peut désarmer l’enfant, tant au niveau subconscient qu’au plan spirituel. Si on met dans la tête d’un enfant qu’il peut devenir un sorcier, il le croit ; et s’il commence à faire ce que fait Harry Potter, il est introduit au monde des pratiques occultes qui sont réelles et sont l’œuvre de Satan…

Le problème de la saga Harry Potter n’est pas qu’elle ne serait pas de culture religieuse ou qu’elle n’aurait pas de culture religieuse, mais justement qu’elle véhicule une culture religieuse profondément fausse en tant qu’elle fait l’apologie de la superstition magique, péché contre le premier commandement.  « Il n’existe pas de bonne magie. La magie blanche pratiquée par Harry Potter est de la magie noire. Elles sont toutes les deux dans les mains de Satan », dit encore l’exorciste du Vatican (26).

Alors que dans le courant « fantastique » classique, le bien est toujours récompensé et le mal puni, Harry Potter broute sur les prés empoisonnés des sciences occultes, de l’ésotérisme et jusqu’au satanisme. Ainsi, alors que les fables classiques montrent le magique comme quelque chose de purement imaginaire, d’irréel, de lointain, les livres de Harry Potter, comme Halloween d’ailleurs, ont un but clairement pédagogique, presque « catéchistique » : il s’agit de transmettre de nouvelles connaissances, la connaissance (la « gnose ») des mystères et pouvoirs magiques au lieu de la connaissance des mystères, de la vérité de la foi chrétienne.

Aujourd’hui, ceux qui approuvent la saga d’Harry Potter ne connaissent pas bien l’occultisme et le confondent avec de pures fantaisies. Aujourd’hui ce monde de l’occultisme est de plus en plus à portée de tous, il est intégré à notre culture et se présente aux enfants comme une expérience amusante, dans de nombreuses déclinaisons.

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Notes

(1) Source : Wikipédia
(2) M. des Haudières, Tintin, Astérix ou Méphisto ? La saga de Harry Potter, dans Action familiale et scolaire, 2001, n. 153, p. 38.
(3) Ibid, p.67
(4) Ibid, p. 112
(5) Venite fedeli, chant traditionnel italien de Noël.
(6) J.K. Rowling, Harry Poter et le Calice de feu, éd. Salani, Milan, 2001, p. 339.
(7) Chez les peuples païens primitifs, les pouvoirs magiques peuvent être « hérités du père, lui-même magicien, ou obtenus par le biais d’une initiation longue et pénible, celle-ci étant donnée par quelque magicien plus âgé » – in Roberto-Palazzini, Dizionnario di teologia morale, Studium, Rome, 1957, p. 805. Ce double mode apparaît dans le personnage de Harry.
(8) E. Jone, Compendio [abrégé] di teologia morale, Marietti, Turin, 1964, p. 123.
(9) Ibid.
(10) 1bid.
(11) Don G. Rottoli, La Superstizione, dans « La Tradizione cattolica », IV, 1995, n. 1, p. 9.
(12) Dom M. Prümmer, Manuale Theologiae moralis (Manuel de Théologie morale), II, éd. Herder, Fribugi Brisgoviae, 1928, p. 412.
(13) Ibid., p. 418.
(14) J. K. Rowling, Harry Polter e il prigioniero di Azkaban, éd. Salani, Milan, 2000, pp. 88-89.
(15) J.K Rowling, Harry Potter e la Pietra filolosofale, éd. Salani, Milan, 2000, p. 164.
(16) Ibid., p. 258.
(17) J. K. Rowling, Harry Potter et la Camera dei segreti, éd. Salani, Milan, 1999, p. 168.
(18) J. K. Rowling, Harry Potler e il calice di fuoco, éd. Salani, Milan, 2001, p. 187.
(19) Saint Thomas d’Aquin, Somme Théologique, Il-lI, q 96, a. 2, ad 3m.
(20) J. K. Rowling, Harry Potter e il Calice di fuoco, éd. Salani, Milan, 2001, p. 439
(21) V. Brushi, L’Esorcista contro il film : Harry Potter è il nuovo diavolo [L’Exorciste contre le film: Harry P. est le nouveau diable] in Quotidiano Nazionale, 6/12/2001, p. 37.
(22) Qu’en est et qu’en sera t-il alors des suivants ?
(23) Queuelisse en français.
(24) Le mimétisme des enfants vis à vis de leur héros ira t-il jusque là, ne serait-ce qu’à s’entailler pour faire couler un peu de sang ?
(25) Lettre du cardinal Ratzinger à Gabriel Kuby le 7 mars 2003 (elle est l’auteur d’un livre intitulé Harry Potter, le bien ou le diable ?).
(26) V. Bruschi, art. cité.

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